9 décembre 2009
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12:00
Dans la série :
Les techniques du nouveau Phallocrate
Les techniques du nouveau Phallocrate
Aujourd'hui
Savoir dégrafer un soutien-gorge avec tact
Savoir dégrafer un soutien-gorge avec tact
Une agrafe de soutif... Qu'il y a-t-il de pire pour un nouveau phallocrate, de buter contre un si petit obstacle. Qui n'a pas serré les dents de rage, contrarié, en pensant " Putain de bordel de merde de saloperie d'agrafe à la con... " en la tripotant, en s'énervant dessus comme on essai d'enfiler le fil à coudre dans le chas d'une aiguille tout en portant des moufles... Qu'il y a-t-il de plus frustrant pour un nouveau phallocrate, d'entendre la femme en pâmoison dire " Je vais t'aider.... "
Absolument insupportable...
Certains nouveaux phallocrates inexpérimentés s'imaginent pouvoir faire sauter les attaches de soutif à distance en claquant des doigts. Je me dois de leur rappeler que ce domaine tient de la
prestidigitation et n'a rien à voir avec notre domaine qui est :
" l'expertise masculine au service de la femme "
Même si certains pensent encore que, faire sauter ce verrou par psychokinésie, s'avère du le domaine du possible, je tiens à vous laisser à disposition un dossier complet sur les
désastreuses expériences paranormales russes entre 1950 et 1965, et en particulier sur la psychokinésie. Expériences dirigées, durant deux années, par le Général PISSANDLOV sur son cobaye du
moment, Ivana, elle-même armée d'un tour de poitrine calibre 105 F. Le Général n'a jamais pu se concentrer totalement, devant une poitrine si volumineuse laissant entrevoir à travers le
soutien-gorge, des tétons aussi gros que des pouces. On peut plaisanter sur le pouvoir de l'esprit sur la matière, pour torde des cuillères, pour casser des verres, pour localiser les sous-marins
nucléaires américains, etc. Mais quand il s'agit de choses sérieuses comme d'une agrafe de soutien-gorge, brisons-là sur les expériences farfelues, et revenons au domaine de compétence qui nous
incombe, sur du concret, en adoptant une attitude raisonnable et appliquée.
L'art subtil du dégrafage de soutif nécessite méthode, analyse, calme et dextérité. Le nouveau phallocrate expérimenté se doit d'un service propre et impeccable.
1) La situation
Nous sommes au moment critique de la relation Phallocrate / Femme. Le phallocrate va embrasser la femme avec son savoir faire. Pour aller au plus vite, prenons le cas le plus simple : Une
trentenaire célibataire sans enfant. Pour le phallocrate il faut compter maximum, cinq minutes de conditionnement à froid, debout, les mains sur les hanches, en la maintenant fermement collée
contre lui, le regard planté dans le sien. Situation classique ! Il ne faudra pas attendre longtemps pour constater un changement physiologique chez la femme. Celle-ci va passer d'un état de
défense, en repoussant le mâle, en opposant sa force, tout en comprenant qu'elle ne peut plus rien faire, qu'elle est prise au piège. C'est ce moment très précis qui fait de nous des phallocrates
: La femme admet la puissance mâle, se soumet. Et c'est à nous, phallocrates de France, de sublimer cet état, qui a été parfaitement synthétisé par cette réplique culte :
- " T'as d'beaux yeux tu sais ! "
- " Embrasse-moi ! idiot ! "
Attention : Ne pas confondre phallocratie et machisme. Si le Phallocrate glorifie la puissance mâle au service de la femme, le macho ne fait qu'en profiter misérablement et ne cherche qu'à se satisfaire égoïstement.
La femme va donc passer de l'état de défense à l'état de catalepsie (paralysie momentanée), ou plus correctement codé par la sémiologie psychiatrique comme état stuporeux. A partir de ce moment, plusieurs façon de faire, plusieurs techniques, manières et autres procédures se disputent parmi les Phallocrates pour satisfaire la femme. Personnellement, je suis d'un classicisme basique de la méthode " Tango " dite du renversement de sa partenaire.
Cette méthode a ses avantages.
Le phallocrate glisse langoureusement une main experte le long de la colonne vertébrale, pour venir se loger sur la nuque afin de supporter la tête légèrement en arrière, ce qui a pour effet d'entrouvrir la bouche de sa partenaire. L'autre main se pose sur le creux des reins, afin de retenir la totalité du poids du corps, désormais offert. Le phallocrate peut alors opérer le reversement dans le sens de la main qui tient la nuque, en écartant légèrement les jambes, et en collant sa partenaire dans le creux de son aine. Cette position apporte un confort indéniable à la femme, qui n'oppose maintenant plus aucune résistance. Mais attention au degré d'inclinaison de la femme : Trop bas, vous risquez de vite vous fatiguer, trop haut, la femme ne ressentira plus l'effet "Phallocrate" de soumission et se réveillera de sa catalepsie. Les valeurs de conversion des données varient en fonction de la taille et du poids de la bête. Mais généralement une femme d'une taille et d'un poids moyen, dont l'indice de masse corporelle ne dépasse pas les 25 (voir calcul de IMC ici) peut être inclinée entre 57,5° et 65,3° sans trop d'effort à fournir. Le phallocrate peut savourer sa victoire juste avant de porter l'estocade en l'embrassant, et se prépare à donner la joie.
Mais avant il faut retirer le soutif...
A suivre...
Pascal DINOT
- " T'as d'beaux yeux tu sais ! "
- " Embrasse-moi ! idiot ! "
Attention : Ne pas confondre phallocratie et machisme. Si le Phallocrate glorifie la puissance mâle au service de la femme, le macho ne fait qu'en profiter misérablement et ne cherche qu'à se satisfaire égoïstement.
Le macho prend du plaisir tandis que le Phallocrate donne la joie.
La femme va donc passer de l'état de défense à l'état de catalepsie (paralysie momentanée), ou plus correctement codé par la sémiologie psychiatrique comme état stuporeux. A partir de ce moment, plusieurs façon de faire, plusieurs techniques, manières et autres procédures se disputent parmi les Phallocrates pour satisfaire la femme. Personnellement, je suis d'un classicisme basique de la méthode " Tango " dite du renversement de sa partenaire.
Cette méthode a ses avantages.
Le phallocrate glisse langoureusement une main experte le long de la colonne vertébrale, pour venir se loger sur la nuque afin de supporter la tête légèrement en arrière, ce qui a pour effet d'entrouvrir la bouche de sa partenaire. L'autre main se pose sur le creux des reins, afin de retenir la totalité du poids du corps, désormais offert. Le phallocrate peut alors opérer le reversement dans le sens de la main qui tient la nuque, en écartant légèrement les jambes, et en collant sa partenaire dans le creux de son aine. Cette position apporte un confort indéniable à la femme, qui n'oppose maintenant plus aucune résistance. Mais attention au degré d'inclinaison de la femme : Trop bas, vous risquez de vite vous fatiguer, trop haut, la femme ne ressentira plus l'effet "Phallocrate" de soumission et se réveillera de sa catalepsie. Les valeurs de conversion des données varient en fonction de la taille et du poids de la bête. Mais généralement une femme d'une taille et d'un poids moyen, dont l'indice de masse corporelle ne dépasse pas les 25 (voir calcul de IMC ici) peut être inclinée entre 57,5° et 65,3° sans trop d'effort à fournir. Le phallocrate peut savourer sa victoire juste avant de porter l'estocade en l'embrassant, et se prépare à donner la joie.
Mais avant il faut retirer le soutif...
A suivre...
Pascal DINOT