29 septembre 2009
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Je suis agent de sécurité, donc je fouille...
Et inévitablement, je regarde dans les sacs à main...
Ce qui me confère une certaine expérience pour aborder ce sujet.
Sujet très sensible au demeurant, car dévoiler le contenu d'un sac à main, c'est s'immiscer une fraction de seconde dans l'intimité d'une femme et de ses habitudes.
Mais je vous le rappelle, je suis agent de sécurité.
Je me dois, en une ou deux palpations, et en un regard acéré, distinguer l'objet interdit.
Mais par la force des choses, on voit beaucoup plus....
Alors je m'adresse aux femmes :
Et inévitablement, je regarde dans les sacs à main...
Ce qui me confère une certaine expérience pour aborder ce sujet.
Sujet très sensible au demeurant, car dévoiler le contenu d'un sac à main, c'est s'immiscer une fraction de seconde dans l'intimité d'une femme et de ses habitudes.
Mais je vous le rappelle, je suis agent de sécurité.
Je me dois, en une ou deux palpations, et en un regard acéré, distinguer l'objet interdit.
Mais par la force des choses, on voit beaucoup plus....
Alors je m'adresse aux femmes :
POURQUOI, BORDEL DE DIEU, TRIMBALEZ-VOUS AUTANT DE TRUCS INUTILES DANS VOS SACS A MAIN ???
Tout est une question de promptitude à s'adapter à une situation . Mais commençons par le commencement : la volumétrie du sac à main.
La volumétrie du sac à main n'a aucun rapport avec sa contenance, mais avec le psychisme de celle qui le porte.
En conclusion :
Plus le sac et petit, plus la femme est timide, réservée, voir peureuse et craintive.
Plus le sac est gros, plus elle est chiante, collante, une vraie ventouse !
La promptitude à s'adapter à une situation, c'est inconsciemment à cause de nous, les hommes. Le sac à main n'est qu'un accessoire de communication, afin de nous faire comprendre ce qu'elles attendent de nous.
Exemple : Prenons une femme froide, le visage glacial, la bouche toujours fermée,exerçant une intolérable pression sur ses lèvres pincées qui
deviennent rose pâle. Cette femme qui vous juge en vous lançant un regard hautain derrière de lourde lunette à monture noire, en tenant sa tête bien droite, tête se finissant par une queue
d'chwal, dont le moindre cheveux est immobilisé par de puissantes pinces métalliques. Cette femme, étriquée dans un tailleur sombre, trop serré, ne lui laissant que peu d'espace pour
respirer, aplatissant une poitrine ferme mais condamnée à ne jamais voir le jour, compressant une taille de guêpe, comprimant un bas ventre blanc et froid comme la banquise. Vous la devinez
constamment au bord de l'asphyxie, en voyant les boutons de son chemisier à la limite de l'explosion. Cette femme perchée sur des escarpins de cuir noir, aux interminables talons, l'obligeant
à une cambrure de percheron à s'en péter les vertèbres, et ....
Bon j'arrête ça m'exite :o)
Cette femme vous présentera un petit sac justement approprié à son psychisme. Un tout petit sac en cuir, noir, avec des anses solides pour bien le maîtriser, sac anguleux avec un espace réduit mais avec un volumineux verrou en métal qu'elle a, à chaque fois, un mal fou à faire sauter (si j'ose m'exprimer ainsi) ! Une fois ouvert, l'espace restreint est totalement optimisé, il n'y a pas un centimètre cube de libre, elle en est fière, mais tu ne peux pas y glisser un petit doigt tellement c'est serré.... Et je parle toujours du sac !
Bon j'arrête ça m'exite :o)
Cette femme vous présentera un petit sac justement approprié à son psychisme. Un tout petit sac en cuir, noir, avec des anses solides pour bien le maîtriser, sac anguleux avec un espace réduit mais avec un volumineux verrou en métal qu'elle a, à chaque fois, un mal fou à faire sauter (si j'ose m'exprimer ainsi) ! Une fois ouvert, l'espace restreint est totalement optimisé, il n'y a pas un centimètre cube de libre, elle en est fière, mais tu ne peux pas y glisser un petit doigt tellement c'est serré.... Et je parle toujours du sac !
A l'inverse, nous avons cette femme avouant volontiers quelques kilos super-flux, un visage jovial, de jolis yeux malicieux, une coupe de cheveux aléatoire en fonction du vent. Des bijoux
BIO, une paire de chaussure de sport, un jean pas du tout à la mode, elle vous colle sous votre nez une paire de seins lourds, opulents, Wagnériens, en vous regardant droit dans les yeux.
Vous soupçonnez un peu de concupiscence complice, mais elle fait ça à tout le monde. parce qu'elle veut un mec, et vite ! Avec elle, tourne une nuée de môme, chahutant, braillant, hurlant,
pleurant. Ce sont les siens, pas forcément du même père. Elle se plaint pour la forme. Et bien celle-ci vous présentera un sac ENORME ! 150 litres, bariolé de couleur, rapé aux coins, le cuir
est détendu, et sa pendouille un peu. La fermeture éclair a pété depuis longtemps, et quand on l'ouvre on peut voir le fond et il y a de la place....
Je parle toujours du sac, bande d'obsédés !
Je parle toujours du sac, bande d'obsédés !
Dans le premier cas, notre amatrice BDSM, ne se limite qu'au strict nécessaire, car elle maîtrise tout, et n'a besoin d'aucune aide extérieure. Rien ne peut venir bousculer ses habitudes, et
l'esprit de défiance constant lui permet de garder éloigner le danger, d'un étalon qui la prendra fermement et sans politesse (en fait elle n'attend que ça). Dans son sac, on trouvera : le
portefeuille, un téléphone portable, un agenda ou un PDA, un tube de rouge à lèvre, un stylo, une serviette hygiénique (pas de tampon, parce que ça ne rentre pas et je ne parle plus du
sac)
Tandis que dans le second cas, c'est la caverne d'Ali BABA, en plus des éléments de notre frigidaire sur jambe, nous trouvons pêle-mêle : Un tourne vis, une balle de ping pong, des doudous, des kleenex, une sucette à moitié sucée et collée au téléphone portable, du déodorant, des capotes, un magasine pour nana, une sonde pour la rééducation du périnée, un paquet de cigarette BIO, un biberon, et au fond, des miettes de pain. Toujours plein de miettes de pain dans ce genre de sac...
Tandis que dans le second cas, c'est la caverne d'Ali BABA, en plus des éléments de notre frigidaire sur jambe, nous trouvons pêle-mêle : Un tourne vis, une balle de ping pong, des doudous, des kleenex, une sucette à moitié sucée et collée au téléphone portable, du déodorant, des capotes, un magasine pour nana, une sonde pour la rééducation du périnée, un paquet de cigarette BIO, un biberon, et au fond, des miettes de pain. Toujours plein de miettes de pain dans ce genre de sac...
En conclusion :
Plus le sac et petit, plus la femme est timide, réservée, voir peureuse et craintive.
Plus le sac est gros, plus elle est chiante, collante, une vraie ventouse !
La promptitude à s'adapter à une situation, c'est inconsciemment à cause de nous, les hommes. Le sac à main n'est qu'un accessoire de communication, afin de nous faire comprendre ce qu'elles attendent de nous.
Va draguer une femme comme dans le premier cas. C'est " Fort Knox " , une vraie porte blindée, tout l'or est à l'intérieur, ça va être chaud pour rentrer (peut-être qu'armé un pied de biche
et une capote en tungstène ? ? ). Quand tu vois la taille du verrou du sac à main, tu te dis qu'il va falloir l'attaquer à la lampe à oxygène. Mais pour elle, ce verrou, c'est symboliquement
son clitoris qu'elle aimerai tant que tu fasses sauter, parce qu'elle n'y arrivera pas toute seule, c'est pour ça qu'elle s'énerve dessus, elle ne te fera jamais ressentir ce besoin, il faut
que tout vienne de toi. Elle, elle est techniquement parfaite, fine, pas un kilo en trop, un ventre plat, des seins merveilleux, mais surtout, elle est prête, prête à tout, pour assouvir les
moindres de tes désirs, mais il faut que tu la prennes, que tu l'enlèves, que tu lui fasses un Hold-Up, elle ne veut pas uniquement se faire sauter, elle veut que tu la cambrioles à la
Spaggiari, en passant par le sous-sol.
Et ceci, pour enfin s'acheter un nouveau sac à main plus... large, plus profond et plus souple.
Et ceci, pour enfin s'acheter un nouveau sac à main plus... large, plus profond et plus souple.
Tandis que draguer une femme comme dans le second cas, ça tourne au péplum. Déjà quand elle pose son sac au sol, il prend pas moins d'un mètre carré de surface, ça déborde de partout, la
balle de ping pong fout le camp. Elle essaie de te convaincre qu'elle est une femme active, entre essuyer avec des kleenex le sang qui coule du front de son petit dernier, qui vient de se
viander la gueule par terre, et, répondre au téléphone portable ,tout en essayant d'y décoller la sucette, désormais collée aussi à ses cheveux, en essayant de tenir une conversation logique,
avec le père du premier de ses gosses, qui a un problème d'agenda pour venir le chercher. C'est clair, ça sort de l'ordinaire. Et quand, dans un moment de répit, elle te fait un coup de
charme tout en essayant de s'allumer une cigarette BIO avec ce qu'elle prend pour un briquet, mais qui n'est autre que sa sonde pour sa rééducation de son périnée...
Elle se dit que c'est un peu le bordel dans sa vie, et qu'il faudrait qu'elle change de sac pour en prendre un plus petit, avec un peu plus de tenu.
Les sacs à main en disent long sur les femmes, et surtout sur leurs intentions...
Pascal DINOT
Elle se dit que c'est un peu le bordel dans sa vie, et qu'il faudrait qu'elle change de sac pour en prendre un plus petit, avec un peu plus de tenu.
Les sacs à main en disent long sur les femmes, et surtout sur leurs intentions...
Pascal DINOT